Comme tous les jours, Beileen en se reveillant alla s'entrainer dans la salle de combat, elle était excellente et était devenue au fil des mois la meilleure recrue des Hostiles, bien sûr etant la fille du chef ce rang n'a pas était difficile à obtenir. En tout les cas, Beileen savait que sa place était au sein des Hostiles, elle avait une haine absolus envers les humains, les humains qui l'ont séparer de sa famille et se sont servit d'elle comme d'une arme de guerre, ce qu'a force elle est devenue. Beileen deteste avoir des sentiments, la plupart du temps elle l'est fait tairent, même si ce n'est pas si simple.
Ce jour là, elle devait suivre un spéciau, un jeune serveur qui venait de découvrir son pouvoir. Il pouvait traversé la matière, un don interressant que James voulait compter parmis ces recrus. Beileen avait donc la tâche de le retrouver. Chose très simple pour beileen qui possède tous ces sens surdévelloper. Il ne lui à suffit que de s'infiltrer dans l'appartement du jeune homme, sentir l'une de ces chemises et la chasse était ouverte !
Beileen enfourcha sa moto et prit la route en suivant l'odeur. Odeur qui l'a mena jusqu'a ce petit bar assez fréquenter de la ville. Elle y entra et y remarqua que le jeune Lenny ( le mutant en question) y travailler. Beileen s'installa au bar et commença à parler à ce lenny. Beileen revendiquer ce qu'elle était et elle ne prit même pas la peine de chuchoter lorsqu'elle l'accosta.

« Lenny ? Je me présente, Beileen Kerrigan, je suis une spéciale et je suis là pour t'aider à rejoindre tes frères. Je sais que tu à un pouvoir, et je suis là pour t'aider. »

Beileen eu à peine le temps de finir sa phrase qu'un homme lui cria dessus.

« Hey toi le monstre ! C'est quoi ton don ? Faire l'amour comme une bête ? »

Et voila un exemple du pouquoi Beileen deteste les humains, ils sont répugnants et misérablement stupide ! Ce pauvre humain ne le savait pas encore mais ce sont les dernières paroles qu'il prononcera. Beileen prit son air de "chat sauvage", ces yeux devinrent plus noir encore que les ténébres , elle se retourna tout en sauvagerie ( façon catwoman enfaite^^) elle le regarda et en une seconde elle se retrouva au niveau du poivros.

« Tu n'imagine même pas à qui tu à a faire pauvre sous espéce... »

Il ne faut pas oublier que Beileen à des pouvoirs de féline... Beileen passa sa langue sur ces dents qui c'étaient éguisés telles des dents de vampires. Ces ongles avaient pousser de 12 cms et elle présenter l'un de ces ongles juste devant les yeux de l'homme, prête à lui trancher la gorge avec son ongle, laissant au passage circuler le poisson de ces ongles dans le corps de l'homme qui lui promettera une mort dès plus douloureuses...

Voilà quelques semaines que Benjamin n'était pas aller en mission ou plutôt en réelle mission. La plupart du temps, les missions étaient uniquement de surveiller des personnes. Là c'était tout autre chose. Un de ces mystérieux contact lui avait donné une information capitale.

Les hostiles seraient en train de recruter certains spéciaux trié sur le volet. Si l'information s'avérait exacte, cela ne présageait rien de bon. Plus ça allait, plus la situation se dégradait avec les hostiles. Comme s'il n'y avait pas déjà assez de problèmes entre les humains et les spéciaux. Franchement.

Son contact lui avait donné l'adresse du lieu de travail d'une des potentiels recrues des hostiles. Ni une ni deux, il se rendit sur place. La personne qu'il recherchait avait un bon job. Un bar très fréquenté qui a du succès. Benjamin supposa qu'il devait être barman. Quel autre job aurait-il occupé sinon ?

Il s'apprêtait à rentrer quand il senti une odeur familière. Il ne l'avait pas senti plus tôt car il était trop loin du bar, mais là il sentait cette odeur. Cette odeur lui était étrangement familière. Il n'arrivait pas à se souvenir à qui appartenait cette odeur, mais il était sûr que cette odeur appartenait à quelqu'un qu'il connaissait.

Ne pouvant rester plus longtemps à l'entrée du bar, il rentra discrètement et la il la vit : Beileen Kerrigan. Il savait bien que cette odeur lui était familière. L'odeur était plus forte à l'intérieur. Il ferma les yeux et senti l'odeur.

L'odeur le fit visualiser la jeune femme. Ses cheveux longs bruns qui descendaient le long de son dos si bien dessiné. Ses yeux d'un vert profond qui rappelle la nature ou plutôt la sauvagerie qui sommeille en elle. Légèrement allongé, lui procurant un regard perçant et malicieux. Une bouche pulpeuse et coloré. Un nez doux et parfaitement formé. Un corps de rêve pour une femme de rêve.

Il rouvrit les yeux. C'est à ce moment qu'il vit un poivros de bas étage lui hurler dessus. S'il n'était pas ivre, il n'aurait jamais osé faire cela. Comme s'en doutait Benjamin, Beileen était prêt à le tuer s'il continuer. Benjamin ne pouvait pas la laisser le tuer. Il s'avança doucement et dit d'une voix douce :

« A ta place, je ne ferai pas ça, Beileen. »

Benjamin la regardait avec des yeux d'enfant. L'heure de s'amuser venait de sonner !

Beileen s'appreter à tuer ce pauvre humain sans interer lorsqu'elle sentit une présence arriver, elle reconnut tous de suite le bruit de la démarche, l'odeur... c'était lui, Benjamin Evans. Beileen & lui se connaissent depuis qu'elle est arrivée aux etats-unis et leur relation est plus qu'etrange. Ils pourraient s'entendrent à merveille, peut-etre même plus... mais leurs idéaux sont radicalement diffèrents, et aucun d'entres eux ne comprent les idées de l'autres. Alors dès qu'ils se voiyent ils se battent, se lancent des pics mais jamais ne se blesseront à morts... Pour lui, Beileen range ces griffes empoisonnées.

Beileen souria d'un sourire "diabolique" avant de se retourner. Elle baissa les yeux sur le coté pour apercevoir Benjamin.

« A ta place, je ne ferai pas ça, Beileen. »

Beileen rigola, et prit l'homme qu'elle allait tuer par le cou commençant à l'étrangler pour ne pas qu'il bouge, elle se retourna en rigolant et regarda Benjamin. Depuis le début qu'ils se connaissent, Beileen l'a toujours trouver très...attirant !

« Tient Ben ! Quelle surprise ! Et peut tu me dire pourquoi je ne le ferais pas ? Il n'a aucun interet ! Et puis, comme ça tous les vulgaires humains de ce bar seront qu'il faut tenir sa langue lorsqu'on ne connait pas les personnes! »

Beileen ressera ces doights sur l'homme, sa force était plus develloper qu'un humain banale, il était donc très facile pour elle d'écraser les cervicales de cet homme. Beileen ayant trouver un nouveau...jeu... Balança l'homme à l'autre bout du bar, il ne mourra pas se soir mais il va surement être dans un sale etat. Elle lui parla de loin mais garda ces yeux rivés dans ceux de benjamin.

« C'est ton jour de chance humain, tu pourra remercier ce gentils Ben, sans lui tu serait déja mort... »

Beileen s'approcha très sensuellement de Benjamin, c'était une chasseuse, c'est dans sa nature... Elle le regarda et lui tourna autour.

« Tu es venu seul... ce n'est pas les habitudes du centre, je vais devoir te mettre ENCORE une raclée... »

Beileen savait très bien que Benjamin allait réagir, effectivement la dernière fois c'est elle qui avait gagné leur combat, mais la fois d'avant c'était lui. Les deux sont puissants, et comme ils se retiennent pour ne pas tuer l'autre, cela croustille encore plus les combats, et l'attirance commune renforce la chose...
En quelques minutes, le bar se vida, les clients effrayés partirent en courant. Il ne rester que Benjamin et Beileen...

De toute évidence, Beileen n'avait pas changé le moins du monde depuis leur dernière rencontre. Elle était toujours aussi... sauvage ! Une véritable tigresse ! Benjamin l'écoutait parler. Le ton qu'elle employait pour parler était d'un stimulant pour lui. Elle le cherchait et elle ne faisait rien pour s'en cacher.

Benjamin était heureux de constater qu'il avait une certaine influence sur la jeune femme puisque celle-ci lâcha sa prise. Benjamin pensa qu'elle ne faisait ca qu'avec lui. Ca le touchait au plus haut point, mais bon sang ! Qu'est-ce qu'il pouvait la détester ! Mais l'aimer autant également.

Beileen s'approcha de lui. Benjamin frissonnait à son approche. C'était la première fois que Beileen avait cette effet sur lui. Il la suivait des yeux, alors qu'elle marchait. Sa démarche le faisait encore plus frissonné. Cette dernière était plus provocatrice que jamais.

Pour lui répondre, il dit ces quelques mots :

« Aurais-tu oublier que je suis le Directeur Adjoint du Centre et que, par la même, c'est moi qui décide des habitudes du Centre ? »

Beileen ne se trouvait pas dans le champ de vision de Benjamin. Or, Benjamin voulait la regarder dans les yeux. Il se tourna donc vers elle tout en disant :

« Tu parles de RACLEES, mais on peut très bien faire d'autre chose que se battre cette fois-ci, non ? Tu sais très bien que je ne tuerai pas et tu sais aussi que tu ne me tuera pas, alors à quoi bon se battre. »

Il s'approcha un peu plus d'elle et mit son index en-dessous du menton de Beileen. Benjamin mit son visage juste en face de celui de Beileen et, en la regardant, il lui dit :

« Fini de jouer, ma belle ! Jouer avec toi ne me suffit plus ! »

Il enleva son doigt de son menton, ainsi que son visage tout en continuant de la regarder.

Effectivement, on peut dire que Benjamin avait de l'effet sur Beileen, dans tous les sens du terme... Sa aurait était un autre "centriste" elle aurait tuer ce minable encore plus douloureusement. Benjamin n'était pas comme les autres, il avait ce petit truc en plus, ce petit truc qui ne s'explique pas ! Ces deux là se detestent autant qu'ils s'aiment, c'est comme ça !

En s'approchant de lui, Beileen sentit les frissons de Benjamin parcourire son corps... Beileen sentit alors la chaleur grimper tout doucement.. Elle le vit se retourner pour la regarder dans les yeux, un regard qui fit frissonner à son tours Beileen...

« Aurais-tu oublier que je suis le Directeur Adjoint du Centre et que, par la même, c'est moi qui décide des habitudes du Centre ? » « Tu parles de RACLEES, mais on peut très bien faire d'autre chose que se battre cette fois-ci, non ? Tu sais très bien que je ne tuerai pas et tu sais aussi que tu ne me tuera pas, alors à quoi bon se battre. »

Beileen le regarda, il n'avai pas tort mais Beileen avait besoin d'action, elle en avait besoin, elle est née pour cela, et il est vrai que les paroles de Benjamin l'a désorientère quelques peu..

« Je pourrais changer d'avis et te tuer... qui sais ? Monsieur le directeur adjoint.... »

Bien sur, ces paroles n'étaient pas vrai, elle voulait juste le faire marcher, sans réellement savoir pourquoi elle n'a jamais était capable de le tuer, et cela depuis leur première rencontre...

« Fini de jouer, ma belle ! Jouer avec toi ne me suffit plus ! »

Les battements du coeur de Beileen se mirent à accélérée lorsque Benjamin posa son doight sous son menton, elle le regarda avec toute la sensualité sauvage qu'elle avait en elle, un petit sourire au coin des lèvres... Elle passa son index sur le torse du jeune homme tout en se rapprochant très trés prés de lui... Le visage à quelques centimètres à peine du sien.

« A oui... ça ne te suffit plus ? Tu veus quoi alors...? Aurait- tu quelque chose derrière la tete ? »

Benjamin était agréablement surpris. Il pensait que Beileen allait lui sauter dessus. Cela confirmait donc ce que pensait Benjamin. Beileen a le même sentiment que lui. Elle sait qu'il y a bien plus que de la haine dans leur relation . Quelque chose d'inexplicable.

Même Bnejamin n'arrivait pas à expliquer ce petit quelque chose. Mais il comptait bien dénouer tout cela avec Beileen dans ce bar. Il était hors de question qu'elle parte tant que ce point ne serait pas éclairci dans la mesure où son esprit est dans la confusion la plus totale.

Elle posa un doigt sur son torse. Il se refusa à toute réaction et resta le plus impassible possible, même si cela relevait de l'exploit pour se contenir. Benjamin avait la sensation bizarre que cette histoire allait finir d'une toute autre manière que ce qu'il avait imaginé à la base.

« A oui... ça ne te suffit plus ? Tu veus quoi alors...? »

Benjamin était vraiment stupéfait des réactions de Beileen. D'habitude, son côté félin prenait totalement contrôle et, dans ce cas, elle serait déjà sauté sur Benjamin, mais là ce n'était pas le cas. Ceci voulait dire que leur relation particulière dominait son côté félin.

Benjamin fronça les sourcils et s'approcha délicatement de Beileen. Il approcha se lèvres de son oreille gauche en effleurant sa peau au passage. Puis, il lui murmura d'une voix suave :

« Tu le sais aussi bien que moi. Cette situation était inévitable et tu le sais. Maintenant, je vais faire quelque chose que je refoule depuis trop longtemps et toi aussi. »

Sur ces mots, les lèvres de Benjamin effleurèrent la peau de Beileen. Benjamin recula sa tête légèrement. Il croisa son regard dans lequel il voyait brûlé une flamme si vive qu'il ne put s'empêcher d'esquisser un sourire.

Leurs visages étaient si proche qu'ils ne faisaient plus qu'un. Benjamin n'osait pas faire ce qu'il lui avait dit. Le faire reviendrait à bouleverser leur vie respective et à mener une vie clandestine. Benjamin se disait à lui-même :

* Bon sang, benjamin ! Qu'est-ce que tu attends ? Fait-le ! Au diable les conséquences ! *

Sur cette pensée, il osa le faire. Ainsi, il approcha ses lèvres de celle de Beileen et l'embrassa. Toute les fibres de l'être de Benjamin vibrait à l'unisson. Une douce symphonie qui l'envoyait au paradis. Pris dans son élan, il l'enlaça sensuellement.

Beileen est une féline, et elle n'a jamais laisser taire ce coté car c'est ce qu'elle est, mais ce soir, face à Benjamin c'est comme si son coté destructeur et chasseuse c'était tû pour laisser place au coté sensuelle et séducteur qu'elle à en elle...
Beileen ressend la même chose pour Benjamin, et cela depuis un certains temps mais comme à son habitude elle à fait taire ces étranges sentiments qu'en réalité elle n'avait jamais ressentit avant lui et qu'elle ne comprend que maintenant.
A cet instant Beileen ne se controler plus vraiment, c'est vrai qu'une féline peut devenir trèèès sexy et séductrice et que le côté "chaleur" est très intense chez elle...
Le corp entier de Beileen frissonna lorsque Benjamin s'approcha d'elle pour lui susurrer quelques mots, sa voix résonna en elle comme jamais, elle l'a trouva alors plus sexy que jamais.

« Tu le sais aussi bien que moi. Cette situation était inévitable et tu le sais. Maintenant, je vais faire quelque chose que je refoule depuis trop longtemps et toi aussi. »

Beileen inspira et se mordit la lèvre inférieur, tous ces sens se mirent en eveille lorsque les lèvres de benjamin parcourirent sa peau, elle le regarda dans les yeux bouillonnant de désir pour lui, ces yeux redevinrent comme ceux des chats, dû à... l'exitation...

Beileen le regarda, elle avait envit de lui sauter dessu et comme Benjamin l'a dit, diffèrement de d'habitude... Ce qu'ils allaient faire allez avoir des conséquences, déja parcequ'ils sont dans deux camps ennemis, ensuite parceque Benjamin est fiancé et pour finir Beileen est censé être avec Alec... Mais Beileen à toujours apprit à ne jamais laisser passer ces impulsions. Et puis cela fait trop longtemps que ces deux là se retiennent, alors elle décida alors de laisser toutes ces pensées de côté et de profiter...
Benjamin embrassa enfin Beileen, un baiser qui la fit fusionner de l'intérieur, ils étaient alors seuls au monde et tout deux profiter de cette instant comme jamais, comme si cela faisait des mois qu'ils attendaient cela, l'un comme l'autre...
Le corp de Beileen frissonna de plus belle lorsqu'elle sentit les mains de Benjamin glisser sur son corp. Elle le regarda.

« oui trop longtemps refoulé... »

Beileen l'embrassa de plus belle et commença à passer ces mains dans son coup, puis descendit sur son torse, débouttonant les boutons de sa chemise...

Benjamin était dans un état second, une espèce de transe, mais une transe qui lui procurait une immense joie, un immense bonheur. L'état mentale de Benjamin était indescriptible à ce moment précis. On pouvait juste imagé la situation comme un feu d'artifice géant dans la plus infime partie de son être.

En parallèle, il pensait à Sophia, son frère Douglas, le Centre, mais l'ensemble de ses ressources attentionnelles était dirigé sur une seule chose : Beileen Kerrigan. Comment des êtres aussi différent pouvait se sentir aussi attirer l'un l'autre. Le fait qu'il s'embrasse était une erreur de la nature, mais qu'est-ce que Benjamin pouvait être content que cette erreur existe !

« oui trop longtemps refoulé... »

C'était si bon d'entendre sa voix, mais Beileen et lui ne faisaient plus qu'un désormais. Plus besoin de dire quoi que ce soit, un simple regard suffisait. Après ces quelques mots, c'est Beileen qui prit l'initiative de l'embrasser. Ces lèvres si chaudes, si douce mettaient Benjamin en émoi.

Les mains de Beileen se posèrent sur son coup et très doucement elle les fit descendre sur son torse. Elle entreprit de déboutonner sa chemise. Ce qu'elle fit aisément. Très vite Benjamin se retrouva la chemise grande ouverte, le torse à nu, en plein milieu du bar.

Benjamin réalisa qu'ils n'étaient pas aussi seuls qu'ils le pensaient. Tout les gens présent les regardaient en silence. Certains avaient la bouche ouverte, d'autres avaient des yeux de pervers ou bien des yeux choqué. Il voulait continuer ce qu'il faisait avec Beileen plus que tout autre chose, mais les spectateur le dérangeait.

Continuant de l'embrasser, Benjamin se mit progressivement à dégager une lueur. Il s'illuminait tel un soleil. Puis, dans une lumière aveuglante, Beileen et Benjamin disparurent du champ de vision des spectateurs. Ils n'avaient pas changé de lieu. Ils étaient seulement invisible. Ainsi ils pourraient continuer leur activité sans les regards indiscret.

« On ne sera pas dérangé comme ça. »

Benjamin n'avait pas rendu invisible Beileen et lui de façon individuel. Il avait créer une bulle qui reflétait la lumière qui les englobait et qui les rendait tout les deux invisible, mais eux pouvait toujours se voir. Moyen très pratique pour ce genre de situation.

Reportant son attention sur Beileen, Benjamin passa délicatement une main sous son haut et toucha le dos de Beileen. Celui-ci avait la chair de poule. Cela eu pour effet de donner la chair de poule à Benjamin qui ne réussissait plus à se contenir.

Il fit glisser très lentement sa main qui se trouvait sous son haut vers le bas jusqu'à atteindre son postérieur. Sa main caressa ses fesses bien galbé. Avec sa force, il la souleva pour la prendre dans ses bras tout en l'embrassant.

Beileen ne c'était jamais sentie comme ça, c'est à la fois comme si elle sentait qu'elle aller exploser de désir et a la fois comme si elle n'avait jamais aussi bien controler son coté félin... Elle se sentait libre, heureuse et enfin ... satisfaite ? Oui c'est le terme, ils avaient attendus trop longtemps, ce qui promettait un relachement intense entre eux...
Effectivement Beileen et Benjamin sont comme deux opposer, devant se detester et tout faire pour se hair mais ne dit on pas qu'entre l'amour et la haine il n'y a qu'un fil ?
Beileen était lié à Benjamin et Benjamin était lié à elle qu'ils le veulent ou non c'est comme ça et tôt au tard ils auraient craqués. Beileen ne voyait plus que lui, et même ayant des sens éguisée elle même n'avait pas fait attention aux yeux rivés sur eux. Les quelques téméraires qui n'avaient pas encore quitter le bar aprés la "démonstration" de Beileen l'est fixés sans même clignés des yeux.

Beileen regarda alors Benjamin crée cette boule de lumière qui à ce moment là fascina notre jeune héroine. Elle le regarda illuminé et lui souria de son plus beau sourire...

« On ne sera pas dérangé comme ça. »

C'était à la fois magique et romantiques... A ce moment là il était réellement seul au monde, ils n'entendaient que le battements de coeur de l'autre et pouvait alors se laisser complétement aller...

Beileen eu la chair de poule lorsque Benjamin lui caressa le dos, cela la rendit dans tous ces etats. Elle ferma les yeux sentant ces mains douce glisser le long du dos pour aller se poser sur ces fesses. Beileen lui retira alors sa chemise avec une sensualité extreme, Benjamin était taillé comme un apollon se qui plut enormément à la jeune femme qui lui déssina ces muscles du bout des doights.

Benjamin porta Beileen qui elle, passa ces jambes autour de lui, assise sur une table, Benjamin entre ces jambes elle l'embrassa sur la bouche, puis descendit ces baisers dans le coup puis sur le torse tout en débouttonant son pantalon...

Beileen commençait à être très entreprenante avec lui, mais Benjamin le lui rendait bien. Beileen l'entourait de ses jambes l'empêchant de s'enfuir s'il l'avait voulu, mais Benjamin ne voulait pas partir. Il était bien au côté de Beileen et il avait bien l'intention de rester avec elle encore un bon moment.

Pendant qu'elle lui faisait des baiser sur le torse, il remonta délicatement le haut de Beileen pour le lui enlever. Entre deux baisers de Beileen, Benjamin lui enleva son haut, la laissant en soutien gorge.

Benjamin mit ses bras autour d'elle pour lui caresser le dos et lui dégrafer son soutien gorge dans la foulée. Une foulée qui l'emmenait de plus en plus loin dans cette histoire avec Beileen. Une foulée qu'il adorait faire.

Le soutien gorge de Beileen lâcha sous les doigts de Benjamin. Les bretelles de celui-ci pendaient dans le vide laissant à nu un dos doux et légèrement halé. Benjamin était hors de lui. Beileen continuait ces baisers. Il sentait également les boutons de son pantalon qui se déboutonnaient au fur et à mesure que Beileen descendait.

Tandis que Beileen s'occupait de son torse qu'elle semblait adoré et de son pantalon, Benjamin avait sa tête dans les cheveux de Beileen. Ces cheveux sentaient la nature et la sauvagerie qui caractérisait tant Beileen.

En sentant ses si beau cheveux, il fut prit d'une envie de la dominer. Doucement, il lui prit les poignets et les éloigna de son pantalon. Puis, brusquement, il fit un geste en avant et Beileen se retrouva allongé sur la table. Benjamin se retrouva sur elle et prit le relais.

Benjamin commença à l'embrasser en essayant de lui faire comprendre qu'il la désirait plus que tout autre chose au monde. Chose facile étant donné la soudaineté de la situation où ils se trouvaient tout les deux. Benjamin était fortement tenté de lui faire des suçons dans le cou, mais cela aurait éveillé les soupçons de son petit copain si tenté qu'il était ne serait-ce qu'un peu futé.

Spoiler:

Puis, Benjamin continua de descendre tout en lui embrassant son ventre plat et longiligne. Arrivé au début de son pantalon, il s'arrêta et commença à le déboutonner à son tour tout en regardant Beileen avec un petit sourire.

Beileen était dans un autre monde, un monde où seul elle & Benjamin habiter, un monde où seuls, ils ne pensaient plus aux conséquences mais seulement à leur désir mutel, à l'envie d'être eux deux.
La température continuer de grimper tandit que Beileen se donner entièrement à Benjamin, comme ci c'était naturel, leur union parfaite. Beileen ne lâcha pas du regard Benjamin lorsque celui ci lui retira son soutien gorge, elle adorer cette sensation qu'elle avait à cet instant, lui appartenir entièrement... Pour une fois dans sa vie elle se sentait proteger par quelqu'un, une sensation qu'elle avait toujours refusé d'avoir.

Benjamin prit les choses en main et domina Beileen qui fut alongé sur la table, benjamin entre ces jambes, une chose que étrangement elle adora, oui pour une féline c'est rare car généralement c'est elle qui domine mais elle adorer le coté torride de la chose. Elle frémissa sous les baisers plus que sensuelle que Benjamin lui donner sur le ventre...
Beileen s'abandonna complétement à lui lorsqu'il lui embrassa les yeux puis lui retira ces vêtements.
Benjamin et Beileen était nus et se donner l'un à l'autre, torridement, sensuellement...Jamais Beileen n'avait ressentit cela, jamais elle 'navait prit autant de plaisir avec un homme... Peut-etre que le côté interdit lui plait aprés tout...
Tandit que Benjamin lui faisait l'amour elle passa ces doigths dans ces cheveux pour les agripper, et il est sur que Benjamin aura quelques griffures dans le dos, heureusement que la jeune femme contrôle son poison, sinon Benjamin serait déja mort...
Leurs corps mélangé, Beileen était à l'apogé du plaisir, elle ne pû retenir quelques cris de plaisir, un plaisir que Benjamin semblait partagé.
Beileen savait désormais qu'elle aurait beaucoup de mal à se passer de lui et cette idée devint certitude quand Benjamin l'a regarda dans les yeux. Ces mains caressant son corps, ces baisers, son regard...